Je serai à Toulouse entre le 25 et le 28 février. Si tu souhaites me rencontrer, profites-en: mes disponibilités sont rares, à l'exception des soumis qui me servent régulièrement. Inutile de me solliciter pour un rdv avant cette période.

J'ai la tête pleine de folies et je raffole des nouveaux terrains de jeux. J'aime le BDSM quand il nous arrache à nous-même pour nous mener là où tout nous a interdit d'aller, je chéris la perversité, la douleur, le cri, le gémissement, l'abandon, les fluides qui débordent et les muscles qui tremblent d'avoir trop tenus avant de lâcher prise, enfin.

Je fais de la domination par amour, dans la sueur et les larmes, dans les rires et la dérision, pour la beauté du geste, la folie créatrice et le joyeux bordel. Mais je le fais avec sérieux : les négociations avant ne sont pas négociables, pas plus que l'aftercare. Pour pouvoir jouer il faut commencer par définir les règles. La douleur est réelle, la violence est consentie, et c'est à cette condition seulement qu'on peut toucher les étoiles. Je ne méprise pas la soumission : je la chéris, je la cajole, et je suis capable d'autant de tendresse que de brutalité. Je ne ferai pas tout le travail : le BDSM, c'est une relation entre deux personnes, où chacun·e donne du sien pour aller loin. Et j'aime emmener les gens loin.

Tu viendras me voir si tu aimes:
- la douleur physique: claques, fessées, étranglements, coups de poing, coups de pied, écrasements, morsures
- les pratiques anales
- les jeux de rôle : tu pourras être mon chien, ma table de salon, mon employé puni, mon sextoy, mon subordonné, le patron que je séquestre, le voisin voyeur que je surprends, la pâte à pizza qu'il faut malaxer, l'oiseau blessé à câliner.
Ou les milliards d'autres choses que nos cerveaux allumés pourraient imaginer.

Si tu es débutant, n'hésite pas. Il n'y a pas de meilleurs stagiaires que ceux qu'on a formé soi-même. Si tu as des handicaps, pareil. Homme, femme, cis ou trans, hétéro, bi·e ou PD (refoulé), welcome.

Les conditions non-négociables:
- aucune substance prise qui peut altérer la conscience (y-compris l'alcool) juste avant ou pendant la séance
- la sexualité n'est ni un dû ni un interdit, c'est une modalité comme une autre qui fera partie des négociations préalables
- les séances durent en moyenne 2h, et selon les pratiques peuvent s'étaler sur plus de temps
- la réduction des risques en matière d'IST n'est pas une option

Ce que je ne pratique pas:
- les jeux autour de la scatophilie
- les jeux de sang (en-dehors de ceux provoqués par les impacts): aiguilles, couteau (or jeux de rôle, mais sans coupures)
- les jeux de rôle impliquant des personnes mineures
- l'humiliation sur la couleur de peau ou le genre (être « féminisé» n'est pas être dégradé, c'est un privilège)

Tu veux deux fois plus de kif ?
Je peux inviter ma super copine trans pour un duo de l'espace.

Je n'ai pas de donjon, alors soit tu paies l'hôtel, soit tu m'invites chez toi, je viendrai si c'est pas trop loin.

J'ai un agenda surchargé, alors si tu me veux vraiment, tu t'adapteras à mes horaires, et tu t'y prendras suffisamment à l'avance.

Envoie-moi un premier message écrit, encore mieux un mail, pour me contacter, je ne réponds que rarement au téléphone, mon temps est trop précieux pour le dilapider en explications futiles.
Tu m’appelleras Madame, le titre de Maîtresse étant réservé aux soumis qui ont mérité mon collier.
Une fois le premier contact établi, si nos univers concordent, je t'accorderai un entretien téléphonique.